Monthly Archives: septembre 2018

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Facebook piraté : 50 millions de comptes potentiellement touchés déconnectés

Category : Édito

Le célèbre réseau social américain a été victime d’une attaque informatique ce vendredi. Voici ce qu’il faut savoir.

Facebook a été victime d’une attaque informatique de grande ampleur s’appuyant sur une faille de sécurité inscrite en dur dans le code du site Web du célèbre réseau social. La faille en cours de résolution touchait une fonctionnalité nommée « Aperçu de mon profil », destinée à vérifier ses paramètres de confidentialité.


Facebook

Une fois exploitée, cette faille permettait aux pirates d’accéder au « Token » (littéralement, jeton) stocké dans la machine cliente (PC portable, smartphone, etc.). C’est ce même « Token » qui évite de devoir reconnecter son compte systématiquement à chaque fois que l’on souhaite utiliser Facebook.

Par mesure de sécurité, Facebook a déconnecté 50 millions de comptes ce vendredi 28 septembre 2018.

Retrouvez tous les détails relatifs à l’attaque sur le site du Monde en cliquant sur le lien suivant :

https://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/09/28/facebook-une-faille-de-securite-concernant-des-dizaines-de-millions-de-comptes-decouverte_5361846_4408996.html?


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Comment activer sa licence G-Data ?

Category : Édito

Cette procédure vous explique pas à pas comment activer votre licence sur l’antivirus G-Data. Au besoin, vous pourrez également télécharger le logiciel en vue de l’installer, ou le réinstaller.

NB : En cas de besoin d’installer ou réinstaller le programme, téléchargez le logiciel en cliquant sur ce lien : http://my-esd.com/0MF7D. Pour tout problème dans le cadre d’un renouvellement facturé par Microlys.com, merci de nous contacter.

  1. Ouvrez G-Data en double cliquant sur l’icône du logiciel (G rouge en forme de bouclier) à droite de votre écran dans la barre des tâches.
  2. (Facultatif si première étape OK) Si cette icône n’est pas affichée dans la barre des tâches, tapez G-Data dans le moteur de recherche de Windows pour trouver et ouvrir le programme.

  3. Cliquez sur « Données d’accès » au milieu en bas de la fenêtre du programme.

  4. Cliquez sur « Activer la licence en haut à droite »

  5. Copier la clef d’enregistrement que vous avez reçu par email (effacé partiellement dans cet exemple).

  6. Collez-la dans la fenêtre d’activation de licence et saisissez les informations nécessaires.

  7. Cliquez sur le bouton « activer maintenant ». Tout est terminé.

 

 


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Disk Inventory X : libère de l’espace disque sur MacOS !

Comme son nom le laisse présager, Disk Inventory X est un logiciel de visualisation d’occupation de disque aussi excellent que gratuit ! Il permet d’afficher en un clin d’œil la liste des fichiers et dossiers les plus volumineux. Une fonctionnalité redoutable pour qui souhaite effectuer un bon nettoyage de printemps sur MacOS !

Cette vidéo vous propose de découvrir un utilitaire aussi sympathique que gratuit nommé Disk Inventory X. Le concept est le même que celui de Treesize sous Windows, ou Disk Usage sur Android (voir ce tutoriel : https://youtu.be/UGYl80g3iJA ).

> Télécharger Disk Inventory X pour Mac OS (gratuit) <

Après un bref scan (durée fonction des performances, du volume, et du nombre de fichiers contenus dans votre disque), Disk Inventory X liste l’ensemble des fichiers et dossier en les classant par taille. Il suffit alors d’ouvrir les plus gros dossiers à la recherche de fichiers pouvant être supprimés. Simple comme bonjour, mais diablement pratique !

 


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Windows 7 : Microsoft ajoute 3 ans de support, mais…

Category : Édito

Cette nouvelle ne concerne pas les particuliers, mais plutôt les entreprises désireuses de conserver leurs installations Windows 7. En effet, ces dernières pourront obtenir des mises à jour de sécurité pour trois ans de plus, jusqu’en janvier 2023. Mais il y a un revers de médaille…

Il est d’ailleurs prévu que Windows 7 quitte le support étendu d’ici janvier 2020.

Cependant, les mises à jour de sécurité étendues (ESU, ou Extended Security Update) auront un coût par périphérique. Le prix des ESU augmentera également chaque année.

Les ESU sont disponibles pour les clients Windows 7 Professionnel et Entreprise dans le cadre du programme de licences en volume de Microsoft (cela ne concerne donc pas les particuliers).


Les clients bénéficiant d’une assurance logicielle Windows et d’abonnements Windows 10 Enterprise et Education bénéficieront d’une remise non spécifiée pour les ESU, selon Microsoft.

L’achat des ESU signifie que Windows 7 permettra aux clients de continuer à exécuter Office 365 ProPlus, entièrement pris en charge jusqu’en 2023.

Microsoft a également prolongé le cycle de mise à jour de Windows 10 pour les entreprises et les clients éducatifs, à la suite de commentaires demandant plus de temps pour la gestion des modifications.

Les mises à jour de fonctionnalités actuellement prises en charge pour les éditions Windows 10 Enterprise et Education versions 1607, 1703, 1709 et 1803 seront désormais prises en charge pendant 30 mois à compter de la date de publication initiale.

À compter de la version 1809 de Windows 10 qui doit sortir ce mois-ci, les futures mises à jour des fonctionnalités seront également prises en charge pendant deux ans et demi, afin de permettre aux clients de disposer de cycles de déploiement plus longs.

À partir de mars prochain, Windows 10 Entreprise et Éducation passeront à une cadence de mise à jour semestrielle, à partir de la version 1903. Le cycle de support de 18 mois s’appliquera également aux versions de Windows 10 Home, Pro et à la suite de productivité Office 365 ProPlus .

Microsoft est également revenu sur sa décision de l’année dernière de réserver l’accès aux services cloud Office 365 aux seuls les clients disposant d’un support grand public Office 365 ProPlus ou les clients Office 2019.

Les utilisateurs d’Office 2016 peuvent maintenant continuer à se connecter aux services Office 365 jusqu’en octobre 2023, a déclaré Microsoft.


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Google Chrome change de look pour ses 10 ans : rétrospective !

Category : Édito

Depuis sa sortie le 2 septembre 2008, Google Chrome arborait la même interface. 10 Ans plus tard, Google offre un petit coup de jeune à son navigateur fétiche avec des contours adoucis rappelant les interfaces de Firefox et Opera. L’occasion pour nous d’évoquer quelques souvenirs du contexte de publication de la toute première version de Google Chrome !

> Téléchargez Google Chrome sur Windows et MacOS dans notre logithèque

Nouvelle interface de Google Chrome

Ancienne interface de Google Chrome

 

Souvenir des origines…

C’est finalement assez discrètement que Google a publié la première (encore au stade bêta) de son navigateur. À l’époque, on pouvait déjà déceler l’énorme potentiel de ce logiciel pour plusieurs raisons.

La première concerne la rapidité d’exécution fulgurante par rapport aux autres navigateurs de l’époque. En effet, avant la sortie de Google Chrome, Internet Explorer (Microsoft, intégré sous Windows) et Firefox se disputaient les principales parts de marché.

Par rapport à Chrome, ces deux navigateurs faisaient figure d’usines à gaz peu réactives. Sur les machines de l’époque, il fallait attendre quelques secondes pour voir ces programmes s’exécuter quand Chrome s’ouvrait instantanément. Chrome s’ouvrait aussi rapidement que le bloc note de Windows, soit l’application la plus légère intégrée nativement au système de Microsoft.

En fait, dès sa sortie, Chrome battait Firefox sur son propre terrain. Explications : avant l’arrivée de Chrome, on pouvait saluer l’ascension rapide et l’adoption massive de Firefox, le navigateur de Mozilla. Par rapport au vieillissant Internet Explorer, Firefox apportait la gestion native des onglets (eh oui, pour Internet Explorer il fallait ajouter une extension MSN pour en disposer…), et faisait la part belle aux (très nombreuses) extensions développées par la communauté.

Mozilla Firefox se montrait également bien plus réactif qu’Internet Explorer. Et même si cela n’est pas nécessairement objectif, Firefox disposait d’une meilleure cote de confiance concernant la protection des données personnelles, par opposition au navigateur proposé par une multinationale (Internet Explorer).

Mais Chrome chamboula cette donne…

Firefox était plus rapide qu’Internet Explorer ? Chrome bien plus rapide de Firefox. Mais même si les performances sont importantes, elles ne font pas tout. En effet, Google Chorme battait également l’un des points forts de Firefox à savoir : la simplicité de l’interface.

Chrome arbore une interface dépouillée et immédiatement prête à l’emploi. Le navigateur de Google s’avère très simple à utiliser, et donc à la portée de n’importe quel néophyte.

Et, grosse innovation : Chrome, c’est aussi les requêtes Google tapées directement dans la barre d’adresse du navigateur en lieu et place de l’URL rébarbative et impitoyable (un caractère faux = erreur 404).

Sans oublier la gestion des différents onglets par process séparés, si bien que si une page plante, elle n’entraîne pas l’ensemble du navigateur et des autres onglets dans sa chute !

Pas forcément parfait au début
Pourtant, avec les premières bêtas de Chrome, tout n’était pas rose. Bien que relativement stable, le navigateur de Google n’était pas encore compatible avec tous les sites existants.

Ironie du sort, désormais, Chorme fait plutôt figure de maitre étalon pour certains  site Web.
Autre inconvénient des premières versions : les extensions n’étaient pas supportées. Problème corrigé : on trouve désormais foule d’extensions sur le Chrome Web Store.

https://chrome.google.com/webstore/category/extensions?hl=fr

Enfin, au rang des inconvénients des origines, notons l’absence pure et simple de version Mac. Ce n’est qu’en mai 2010 qu’est sortie la première version stable de Chrome sur Mac et Linux.

Le paradoxe Android
Sous Android, Google intégrait un navigateur sobrement nommé… Navigateur. Après la sortie de Google Chrome sur Windows, il a fallu attendre plusieurs années pour que Google se décide enfin à porter son navigateur fétiche sur son propre système d’exploitation mobile ! Et plus encore pour l’intégrer par défaut ! Car quelques années après la sortie de la version Android de Google Chrome, Google s’obstinait toujours à intégrer « Navigateur » par défaut sur Android. Il fallait donc systématiquement passer par le Play Store (anciennement Android Market) pour installer Google Chrome sur son mobile !

Présent
Désormais, Google Chrome est disponible sur l’ensemble des principaux systèmes mobiles et desktop. À l’heure où ces lignes sont tapées, d’après Wikipedia, Google Chrome revendique une moyenne de 60 % de parts de marché tous navigateurs confondus (source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le:Parts_de_march%C3%A9_des_navigateurs_web ).
Mozilla Firefox n’est plus que l’ombre de lui-même, écrasé par une lourdeur qui semble s’empirer de version en version.
En parallèle, Microsoft se débat tant bien que mal en essayant de forcer l’utilisation de EDGE (qui donne une impression de poussiéreux Internet Explorer renommé) via une intégration toujours plus contraignante sous Windows 10. Par exemple, EDGE est le lecteur par défaut des fichiers PDF après installation de Windows 10. On regrette aussi le message Windows indiquant que EDGE est plus performant que Chrome lorsqu’on veut choisir Chrome comme navigateur par défaut.

Tout n’est pas forcément rose avec Chrome
Nous l’avons vu plus haut, sur un plan purement technique ou en termes de fonctionnalités, Google Chrome est tout simplement inattaquable. Reste que Google oblige, Chrome pose toujours la question de l’exploitation des données personnelles, et de la protection de la vie privée. En attendant un éventuel leak, la réponse à cette question reste bien gardée dans les couloirs du géant de Mountain View.