Bonjour à tous. Cette vidéo vous propose de découvrir le boîtier PC Zalman ZM-Z1. Avec un prix oscillant entre 30 et 45 euros, ce boîtier offre plutôt de belles prestations compte tenu du prix maîtrisé. On apprécie le montage rapide sans vis sur les lecteurs 5’1/4, la présence de rails pour les disques durs, l’emplacement SSD ainsi que la conception globale et la finition plutôt honnête. Seul regret inhérent à de nombreux boîtiers : on aurait apprécié de disposer de deux ports USB3 en façade.
Dans cette vidéo nous voyons ensemble comment configurer un ordinateur cible devant être contrôlé à distance par un administrateur / assistant informatique.
NB : Pour suivre ce tuto, vous devez disposer d’un code d’installation DWS.
Comme son nom le laisse présager, Disk Inventory X est un logiciel de visualisation d’occupation de disque aussi excellent que gratuit ! Il permet d’afficher en un clin d’œil la liste des fichiers et dossiers les plus volumineux. Une fonctionnalité redoutable pour qui souhaite effectuer un bon nettoyage de printemps sur MacOS !
Cette vidéo vous propose de découvrir un utilitaire aussi sympathique que gratuit nommé Disk Inventory X. Le concept est le même que celui de Treesize sous Windows, ou Disk Usage sur Android (voir ce tutoriel : https://youtu.be/UGYl80g3iJA ).
Après un bref scan (durée fonction des performances, du volume, et du nombre de fichiers contenus dans votre disque), Disk Inventory X liste l’ensemble des fichiers et dossier en les classant par taille. Il suffit alors d’ouvrir les plus gros dossiers à la recherche de fichiers pouvant être supprimés. Simple comme bonjour, mais diablement pratique !
NB : Vidéo en mode portrait visible en plein écran sur votre mobile.
Bonjour à tous. Dans ce tutoriel, on voit ensemble comment classer ses photos par lieux (géolocalisation) dans la galerie photo d’un smartphone de type Samsung Galaxy.
Il faut dire que la manipulation n’est pas vraiment intuitive. En effet, une fois un album ouvert, l’interface permet uniquement d’effectuer un tri par date de création ou date de modification, mais pas par lieu géographique.
Pourtant, cette fonction est bel et bien disponible, comme nous le verrons dans ce présent tutoriel.
Attention, pour que ce tutoriel fonctionne, il est impératif d’activer la géolocalisation dans l’application photo du téléphone. Sans cela, les photos ne sont pas géotaguées, ce qui rend impossible leur classement par lieu.
Rappelons également que la précision sera aléatoire. La mesure géographique est relativement fidèle lorsque le mobile s’appuie sur les données du dispositif GPS intégré. Mais en raison de la lenteur ou difficulté de fix des données satellites, le mobile a parfois recours aux informations de positionnement de la triangulation GSM. Si l’obtention de cette donnée est instantanée, elle s’avère nettement moins précise que les informations GPS.
Dans ce tutoriel, on voit ensemble comment envoyer automatiquement ses photos depuis un NAS de type Synology vers un stockage cloud de type Google Photo.
Avantage de la manipulation :
Il n’est plus nécessaire de laisser tourner un PC en permanence pour uploader ses photos. Bien sûr le NAS devra fonctionner pendant l’upload, mais cet appareil est beaucoup moins gourmand en énergie qu’un ordinateur, et est spécialement conçu pour fonctionner sans interruption.
Pourquoi un tuto ?
Parce que Cloud Sync (l’application de synchronisation Cloud) ne propose malheureusement pas nativement de synchronisation avec Google Photo. L’astuce consiste donc à envoyer les fichiers sur Google Drive dans la mesure où cette synchronisation est proposée nativement par Synology. Ensuite, il faudra effectuer quelques réglages sur le compte Google Drive, mais aussi Google Photo histoire de faire communiquer les deux espaces cloud de Google.
Pourquoi Google Photo n’est pas supporté par Synology ?
L’absence de synchronisation native des NAS Synology avec Google Photo a une explication. Les choses ne sont pas si simples qu’avec un upload classique. En effet, Google Photo propose une option bien connue permettant de disposer d’un espace de stockage photo et vidéo illimité et gratuit. Seulement voilà, cette fonctionnalité alléchante est conditionnée par l’optimisation des photos et vidéos lors du transfert. Comprenez que Google compresse vos fichiers afin d’économiser un maximum d’espace de stockage sur leurs serveurs.
Ce traitement des fichiers est opéré par l’application de Synchronisation de Google disponible pour Mac, Windows, mais aussi Android ou iOS (mobile Apple). Pour que la fonctionnalité soit supportée par les NAS, il faudrait donc que Google porte son programme sur nos serveurs de stockage préférés, ce qui n’est probablement pas près d’arriver.
L’inconvénient qui en découle :
En s’appuyant sur ce tuto, ce sont donc des fichiers originaux qui sont envoyés vers Google Drive, et donc vers Google Photo. Cela aura pour inconvénient de grignoter l’espace de stockage gratuit du compte Google associé (15 Go). Car seuls les fichiers optimisés par Google ne sont pas décomptés de l’espace de stockage Drive.
Une solution au problème ?
Lors de mes recherches, je suis tombé sur un topic très intéressant sur les Google Groups. En particulier grâce au post d’un certain noel155 que je salue au passage (https://productforums.google.com/forum/#!topic/forum-de-discussion-google-plus/052NUKRb7mM) . Sa manipe semble fonctionner, mais elle est trop complexe. Et surtout, n’est pas automatisable, raison pour laquelle je ne l’ai pas intégrée à ce présent tutoriel. Je laisse son post si dessous. Si vous parvenez à trouver une solution pour mixer les deux méthodes, et automatiser un envoi gratuit et illimité, un partage par le biais des commentaires sera la bienvenue! Ci-dessous le copier-coller du poste de noel155 :
noel155 a dit :
Le vendredi 25 septembre 2015 10:56:26 UTC+2, ∙•●Eric31●•∙ a écrit :
Vous ne profiterez pas de l’espace illimité de Google Photos en passant par Google Drive.
Le stockage gratuit des photos ne concerne que les photos mises sur Google Photos en « haute qualité ».
Eurêka ! J’ai une solution qui semble opérationnelle !
Partant du constat que les montages automatiques réalisés par Google Photo avaient pour effet d’intégrer complètement les photos de Google Drive vers Google Photo, j’ai donc cherché comment intégrer de la manière la plus efficace possible les photos présentes dans Google Drive VERS Google Photo. Google Photo étant paramétré pour stocker les photos en « haute qualité » afin de profiter du stockage illimité.
La solution la plus simple pour intégrer les photos consiste donc bien à passer par la création d’Albums Google Photos à partir des photos présentes.
Donc, si vous transférez des photos en passant par Google Drive, et les intégrez dans Google Photo en profitant du stockage illimité, le processus complet est le suivant :
Configurez Google Photos pour voir les photos présentes dans Google Drive (via les paramètres de Google Photos ==> « Affichez les photos et les vidéos de Google Drive dans votre photothèque. »)
Dans les paramètres de Google Photo, sur « Taille de transfert des photos et vidéos », choisissez « Haute qualité (espace de stockage gratuit illimité) Bonne qualité visuelle avec une taille de fichier réduite »
Si vous avez plus de 15GO de photos à transférer, il sera mieux de souscrire un abonnement 100GO chez Google. Vous pouvez souscrire à cet abonnement juste avant d’atteindre les 15GO d’upload. Dans mon cas, j’avais plus de 57GO de photos à transférer.
Transférez les photos vers Google Drive : dans mon cas, à partir de mon NAS Synology à l’aide de Cloud Sync.
Dans Google Photos, sélectionnez vos photos, et placez-les dans des albums que vous créez. Le processus est facilité par la possibilité de sélectionner en un seul clic toutes les photos affichées et regroupées par jour de prise de vue, ou bien de sélectionner la première photo, puis la dernière en appuyant sur la touche MAJ. Cette action a pour effet d’intégrer les photos dans Google Photo. Lorsque les albums photo existent, les photos affichées sont celles de Google Photo et plus celles présentes dans vos répertoires de Google Drive. Dans mon cas, je crée un album par année (je n’ai pas terminé, car j’ai des milliers de photos).
Quand vos albums sont créés, vous pouvez supprimer vos répertoires photos de Google Drive, sans oublier de vider la corbeille : Les photos étant maintenant intégrées, elles ne seront pas supprimées de Google Photo, et cela même si vous supprimez vos albums Google Photo par la suite. Dans mon cas, j’ai fait le test sur les 3 années où j’avais le moins de photo afin de ne pas refaire un upload important au cas où ma méthode n’aurait pas fonctionné. Ça a fonctionné !
Quand vous avez vidé Google Drive, vous pouvez résilier votre abonnement 100GO si jamais vous avez eu besoin d’y souscrire pour transférer vos photos.
Remarques :
Manipuler des albums avec un grand nombre de photos :
la création de l’album Google Photo échoue. Je n’ai pas trouvé la limite, mais ça marche au moins jusqu’à 500 photos sélectionnées. Pour un gros album, si vous dépassez la limite, il va falloir ajouter les photos en plusieurs fois.
A la suppression, c’est pareil : impossible de supprimer un album qui contient trop de photos. Il faut sélectionner les photos par paquets de plus ou moins 500 photos, de les supprimer, et à la fin de supprimer l’album.
Processus de traitements internes Google :
Vu ce que j’ai constaté dans les corbeilles de Google Drive et de Google Photo, lorsque vous demandez à exécuter une action dans Google Drive ou Google Photo, vous pouvez parfaitement reprendre la main sans que l’action demandée ne soit terminée. Quand vous déclenchez une tâche sur un grand nombre de photos, il est fortement probable que l’action se déroulera encore lorsque vous reprendrez la main. Donc laissez passer du temps avant de supprimer définitivement vos répertoires de Google Drive : on ne sait jamais !
@Google, ce sont des super idées, des super logiciels, mais ça manque de tests et de mises à jour une fois une première version déployée. Également, les choix en termes d’ergonomie sont souvent très discutables.
Voilà ! En espérant que cette expérience sera utile à d’autres… 🙂
Bonjour à tous. Aujourd’hui nous vous proposons de découvrir en détail le boitier Cooler Master N300. Une tour que nous installons régulièrement. En effet, même si certains détails pourraient être améliorés comme nous le verrons, cette dernière présente de très nombreux avantages.
En premier lieu, Cooler Master oblige, on a affaire à un rapport qualité prix tout bonnement imbattable. À 44 euros à l’heure où nous écrivons ces lignes, difficile de faire mieux. Cette marque est spécialisée dans les boitiers et les dispositifs de refroidissement, et ça se voit. Côté qualité, Cooler Master connait son affaire. Une valeur sûre. L’ensemble met en œuvre des matériaux de qualité, la finition est irréprochable et le design reste soigné.
Autre avantage du boitier : bien qu’en entrée de gamme, il demeure tout de même équipé d’une connectique USB 3 en façade. Seul bémol, on aurait aimé disposer de deux USB 3 en façade, et non un seul. Il existe en réalité deux versions du boitier. La première qui fait l’objet de cette présentation (type KKN1) propose deux prises USB2 + une prise USB 3 en plus des prises casque et micro. La seconde au demeurant introuvable sur la toile (type KKN2) fait l’impasse sur les deux prises USB2, mais propose 2 prises USB 3 en plus des connectiques son.
Autre petit regret : il est dommage que le constructeur n’ait pas pensé à intégrer directement des emplacements 2’5 pouces pour les SSD. Un moindre mal dans la mesure ou un adaptateur peu onéreux comblera le manque. Enfin on aime la présence de fixations rapides pour les disques durs et autres lecteurs optiques. Du tout bon au final !
Dans cette vidéo, nous verrons comment créer une image disque en toute simplicité, sans avoir à installer le moindre utilitaire de création d’ISO.
Si ce vocabulaire vous est étranger, ce tutoriel vous permettra de copier un disque physique (suite iLife dans notre exemple) pour le transformer en un fichier informatique pouvant être stocké sur un disque dur, SSD, ou tout autre espace de stockage.
En effet, l’utilitaire de disque de MacOS peut s’affranchir de cette tâche sans difficulté.
On ne le dira jamais assez : il ne faut JAMAIS garder son doigt de manière prolongée sur le bouton « Power » d’un ordinateur. Seulement voila, que faire lorsque ce dernier est « planté » ?
Dans cette vidéo, nous verrons ensemble comment débloquer un ordinateur sous Windows 10 SANS avoir à appuyer sur le bouton Power de l’ordinateur de façon prolongée.
Rappelons que l’appui prolongé sur le bouton Power peut être lourd de conséquences que ce soit avec Windows ou Mac OS).
En effet, l’appui prolongé sur le bouton Power (a le pas confondre avec l’appui bref, voir cette vidéo) a pour conséquence d’éteindre brutalement votre ordinateur. Sans entrer dans les détails, cela peut avoir pour conséquence de détériorer ou supprimer des fichiers système critiques. Ces dégradations du système d’exploitation (Windows ou Mac OS) peuvent entrainer des dysfonctionnements, ou empêcher purement et simplement le démarrage de l’ordinateur.
Dans ce tutoriel, nous passerons en revue l’ensemble des tentatives à effectuer pour débloquer l’ordinateur sans avoir à actionner la touche Power de façon prolongée.
Que faire lorsque son Galaxy S7 est totalement planté ? Si les touches et l’écran du téléphone ne répondent plus, il existe une manipulation qui permet d’affiche un menu. Une fois ce menu atteint, une option de redémarrage est proposée.
La manipulation est simple. Il vous suffira d’appuyer simultanément sur les touches Power, Volume bas et Home.
Par défaut, la veille prolongée n’est pas disponible sur Windows 10. Nous verrons dans ce tuto très simple comment l’activer simplement en quelques étapes.
Pour rappel, ce mode de veille cumule les avantages d’un arrêt complet (zéro consommation électrique en veille) et d’une veille classique (on retrouve ses programmes et documents ouverts tels qu’on les avait laissés lors de la session précédente d’utilisation de son ordinateur.